Tourner les pages (33/52)

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gotye

Une fois par semaine, et ce pendant un an, je me fais plaisir en partageant ici des paroles de chansons qui m’ont marquées. Vous avez d’abord la traduction/transcription en français dudit morceau puis la chanson en tant que telle (avec les paroles d’origine directement à l’écran, retranscrites, ou le clip). Ces chansons – qui concernent tous les styles de musique, vous vous en doutez si vous connaissez un peu mes goûts que je reconnais volontiers être parfois discutables 😉 – sont à mes yeux importantes parce qu’elles m’ont enseigné, et continuent d’ailleurs à m’enseigner, des préceptes.

A chaque fois que je les écoute, j’en tire une ou plusieurs leçons, d’où le titre de l’article concerné qui chaque fois correspond à une recommandation ayant, à mon sens, beaucoup de valeur. Ça me fait kiffer de mettre en avant ici des paroles parce que pour moi la musique ce n’est pas uniquement du son. Le message véhiculé par les artistes étant parfois/souvent tout aussi essentiel. Ces paroles concernent donc tous les sujets. Voici le trente-troisième volet de cette série.

« A présent je pense au moment où nous étions ensemble
Genre, quand tu disais que tu étais si heureuse que tu pouvais mourir
Je me disais que tu étais bien pour moi
Mais je me sentais si seul en ta compagnie
L’amour est une douleur dont je me souviens encore

On peut devenir accro à une certaine forme de tristesse
Comme la résignation de la fin
Toujours la fin
Alors quand on a pensé que l’on n’irait nulle part ensemble
Tu as dit que l’on pourrait toujours rester amis
Mais j’admets que j’étais heureux que tout cela se finisse

Mais tu n’avais pas à couper les ponts
A faire comme si cela n’avait jamais existé
Comme si nous n’avions rien été l’un pour l’autre
Et je n’ai pas besoin de ton amour
Mais tu me traites comme un étranger
C’est tellement cruel
Tu n’avais pas à t’abaisser si bas
A envoyer tes amis récupérer tes CD’s
Et à changer ton numéro
Je suppose que tu n’as pas besoin de mon amour non plus
Maintenant tu es juste quelqu’un que j’ai connu

Maintenant je pense à toutes les fois où tu m’as bien eu
En me faisant croire que c’était à chaque fois de ma faute
Je ne veux pas vivre de cette façon
A déchiffrer chaque mot que tu diras
Tu disais que tu pouvais arrêter
Et je ne pense pas que tu sois du genre à être obsédée par quelqu’un que tu as connu…

Mais tu n’avais pas à couper les ponts
A faire comme si tout cela n’avait jamais existé
Comme si nous n’avions rien été l’un pour l’autre
Et je n’ai pas besoin de ton amour
Mais tu me traites comme un étranger
C’est tellement cruel
Tu n’avais pas à t’abaisser si bas
A envoyer tes amis récupérer tes CD’s
Et à changer ton numéro
Je suppose que tu n’as pas besoin de mon amour non plus
Maintenant tu es juste quelqu’un que j’ai connu »

Gotye
« Somebody That I Used To Know »

Clip :

Paroles :

33/52 : Tourner les pages.
32/52 : Saisir la poésie du moment.
31/52 : Devenir indestructible.
30/52 : Rester assez ouvert pour apprendre.
29/52 : Réunir.
28/52 : Prier.
27/52 : Savourer.
26/52 : Creuser.
25/52 : Laisser couler.
24/52 : Prendre la contre-allée.
23/52 : Se préparer sereinement.
22/52 : Choisir des addictions positives.
21/52 : Trouver les bonnes oreilles.
20/52 : Se reconnecter.
19/52 : Ne pas avoir de remords.
18/52 : Confronter ses démons.
17/52 : Digérer.
16/52 : Crier encore.
15/52 : Préserver l’une des raisons de se lever chaque matin.
14/52 : Graver les choses dans le marbre.
13/52 : Voir plus loin et plus haut que le savoir.
12/52 : Rechercher la Vérité et la Justice.
11/52 : Savoir écouter l’autre.
10/52 : Ne pas avoir peur.
9/52 : Se sauver soi-même.
8/52 : Partir en trip.
7/52 : Avancer avec humilité.
6/52 : Vivre pour quelque chose.
5/52 : Voir ses amis.
4/52 : S’éloigner de l’agitation – Partie 2.
3/52 : S’éloigner de l’agitation – Partie 1.
2/52 : Accueillir le changement.
1/52 : Ne pas se retenir.

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