Honey, what do you do for money?

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Article à lire de Liberation sur la conjoncture actuelle du monde de la musique, et plus particulièrement celle des festivals.

EXTRAITS

« Le développement des activités hexagonales de Live Nation, avec le lancement des versions françaises du festival metal Download (2016) et du Lollapalooza (2017), et le rachat de 50% de Rock en Seine à Matthieu Pigasse par AEG (2018) ont inquiété de nombreux indépendants. Mais l’offensive française des Américains ne se passe pas aussi facilement que certains oracles l’avaient prévu. La première édition de Rock en Seine version AEG a été un four, avec une fréquentation en baisse de 18%. Au même moment, le Paris Summer Jam, organisé par Live Nation, ne s’est rempli qu’à moitié. Mais c’est sur le front du metal que le géant américain souffre le plus : alors que ses concurrents Hellfest et Motocultor, tous deux organisés par des associations, se déroulent à guichets fermés, la déclinaison française du Download s’est vautrée elle aussi avec officiellement 120 000 entrées en quatre jours mais, selon tous les professionnels consultés, en réalité moins de 90 000 (versus 180 000 en trois jours pour le Hellfest). »

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