Etre Heureux
J’aime beaucoup ce reportage et ses équations finales
Par défautRevenir au bonheur de ce que l’on a
Par défaut« Vieillissant, je ne me dis pas que les promenades en bord de mer seront de moins en moins nombreuses mais je me dis que les attaques de la nostalgie vont se faire de plus en plus fréquentes. Et c’est normal car j’ai plus de passé que d’avenir, donc dans l’équilibre de mon psychisme, il y a davantage de choses faites que de choses à faire. La tentation est grande de se laisser rattraper par le souvenir. Mais je veux encore me fabriquer des moments et non pas en revivre. Le jour où je vais disparaître, j’aurai été poli avec la vie car je l’aurai bien aimée et beaucoup respectée.
Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis.Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés. Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir. Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a. On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité ! Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir-vivre. »
Olivier de Kersauson
Savourer le « en ce moment »
Par défautPleasure / Happiness
Par défautNe jamais lâcher (ses rêves)
Par défaut8 décembre 1997 : FNM comme 1er concert de ma vie.
16 juin 2022 : partenaire officiel de FNM au Zénith.
« Tels les échos des rires de ton enfance »
J’aime beaucoup
Par défautFabrice Luchini est (comme d’habitude) passionnant
Par défautJ’adore Fabrice Luchini et cet entretien ne fait que confirmer la donne. Je mets juste un léger « bémol » sur sa vision du bonheur qui, à mon humble avis, manque légèrement de nuances. Nan mais ce que je veux dire par là, c’est que tu as quand même un large espace entre Cioran et le gai savoir ! Et heureusement d’ailleurs. Le bonheur peut nécessiter beaucoup de choses différentes dont il est probable qu’elles se résument finalement en une seule. Fabrice Luchini y voit un miracle, quelque chose qui nous dépasse. Moi j’y vois une grâce tangible.
Keep the (metal) faith
Par défautNormalement, en temps normal et pour beaucoup d’entre nous, le samedi soir c’est concert/resto/bar, enfin tu vois bien le délire…
Public metal, sache qu’on a très envie de vite te retrouver dans les salles obscures. Pour sentir ton odeur, recevoir ta sueur, partager une bière et admirer vos chevelures ! ?
Allez, gardons la foi.
Tout ça finira bien par revenir…
#keepthefaith
50 ans et puis… pouf !
Par défautJoyeux noël !
Par défautOui !!! ;)
Par défautVivre mieux, c’est accepter
Par défautC’est vrai. Totalement.
Par défautUn vrai problème ! ^^
Par défautUn changement d’attitude
Par défautCet échange est l’un des plus grands moments que j’ai vécus au Cinéma
Par défautScotché. Je suis resté scotché.
La réponse de Marilyn Manson, sur ce qu’il aurait dit aux gamins qui ont fait Columbine, est l’un des plus grands moments que j’ai vécus au Cinéma.
Aurélie
Par défautCe pour quoi on est fait
Par défautNous devons nous auto-discipliner
Par défautDes mots pertinents sur l’entraide et la coopération
Par défautLa citation du jour (ne s’applique pas seulement en cuisine)
Par défautLa citation du jour
Par défautHaha énorme ! ^^
Par défautPensons utile
Par défautQuatre ans, déjà.
Par défautEn ce jour devenu malheureusement si spécial, j’ai une pensée pour toutes les personnes qui ont été touchées, de près ou de loin, par ce qu’il s’est passé il y a quatre ans.
Grâce aux expériences de la vie, j’ai appris à dompter la colère que j’ai en moi. Mais quand je pense au 13/11/2015, je sens bien que cette colère est toujours là. Immense et profonde. En moi et malgré moi.
Tellement vrai
Par défautCe que nous choisissons ?
Par défautL’objectif est de suivre la feuille de route
Par défautLa vie doit être une ivresse perpétuelle
Par défautLes ailes aident
Par défautRester assez ouvert pour apprendre (30/52)
Par défautUne fois par semaine, et ce pendant un an, je me fais plaisir en partageant ici des paroles de chansons qui m’ont marquées. Vous avez d’abord la traduction/transcription en français dudit morceau puis la chanson en tant que telle (avec les paroles d’origine directement à l’écran, retranscrites, ou le clip). Ces chansons – qui concernent tous les styles de musique, vous vous en doutez si vous connaissez un peu mes goûts que je reconnais volontiers être parfois discutables 😉 – sont à mes yeux importantes parce qu’elles m’ont enseigné, et continuent d’ailleurs à m’enseigner, des préceptes.
A chaque fois que je les écoute, j’en tire une ou plusieurs leçons, d’où le titre de l’article concerné qui chaque fois correspond à une recommandation ayant, à mon sens, beaucoup de valeur. Ça me fait kiffer de mettre en avant ici des paroles parce que pour moi la musique ce n’est pas uniquement du son. Le message véhiculé par les artistes étant parfois/souvent tout aussi essentiel. Ces paroles concernent donc tous les sujets. Voici le trentième volet de cette série.
Tous les rêves sont possibles
Par défaut
« Fidji Simo est née à Sète d’un père pêcheur et d’une mère commerçante. Elle a vécue dans cette ville d’Occitanie jusqu’à son baccalauréat. Après un diplôme HEC à Paris, elle tombe amoureuse des Etats-Unis lors d’un échange avec l’Université de Californie à Los Angeles. Elle décroche un poste chez Ebay avant d’arriver chez Facebook. »
Toutes les rêves sont possibles : c’est ce que rappelle cette jolie histoire.
L’optimisme est une discipline
Par défautLe mot le plus important (pour y arriver) est le dernier employé
Par défautHappiness is the key
Par défautLa justesse éternelle de Brel
Par défautDu coeur et de l’espérance
Par défautApprendre à dialoguer avec des malades
Par défautJ’aime beaucoup ce texte parce qu’il joue avec le stéréotype du « malade » qui doit se soigner pour lui-même mais qui, en fait, effectue une démarche pour apprendre à dialoguer avec les vrais malades que peuvent être les êtres humains. C’est une belle inversion du rapport. Je trouve ça très pertinent parce que j’ai toujours pensé que beaucoup, mais alors beaucoup, de gens devraient aller voir un spécialiste…
La bonne philosophie
Par défautLe sens. Rien que le sens.
Par défautLa transformation des émotions
Par défaut« Spinoza précise ‘qu’on ne peut réduire ou supprimer un affect que par un affect contraire et plus fort que l’affect à réduire’. Ce qui signifie que la raison et la volonté ne suffisent pas à supprimer une émotion ou un sentiment qui nous perturbent. Leur rôle consiste à favoriser l’émergence d’une émotion ou d’un sentiment plus puissants que ceux qui nous attristent, et qui parviendront seuls à éliminer la ou les causes de notre tristesse. Spinoza nous dit ainsi que le bonheur dépend non seulement de notre vigilance à éliminer pensées et émotions perturbatrices, mais aussi de la manière dont nous parviendrons à développer des pensées et des émotions positives.
Il ne suffit pas de s’atteler à éliminer obstacles ou poisons pour être heureux, encore faut-il s’attacher à galvaniser les forces de vie : nourrir la joie, l’amour, la compassion, la bonté, la tolérance, les pensées bienveillantes, l’estime de soi, etc. Là est le fondement contemporain de la psychologie positive qui insiste sur la nécessité de ne pas uniquement se concentrer sur nos problèmes, nos émotions perturbées, mais aussi et surtout de prendre en compte notre potentiel de vie et de développer tout ce qui est susceptible de nous aider, par nos propres ressources, à surmonter nos blessures et nos inhibitions. La meilleure manière de lutter contre la peur est de développer la confiance. De lutter contre la haine, de développer son contraire : la compassion.
Le bouddhisme tibétain, courant qui a le plus travaillé sur la transformation des émotions, s’inscrit dans ce registre et propose une véritable ‘alchimie des émotions’ : des exercices spirituels qui visent à développer l’émotion contraire à celle qui nous perturbe. C’est le cas de la méditation dite ‘tonglen’ : il s’agit de visualiser une personne ou une situation qui sont source de colère, de ressentiment ou de peur. Sur l’inspiration, on visualise de la fumée noire émanant de ces personnes ou ‘objets » négatifs, que l’on absorbe, et sur l’expiration on projette de la lumière blanche, lumineuse, vers ces ‘objets’ ou personnes. On peut ainsi passer progressivement d’une émotion négative à une émotion positive, d’une colère envers quelqu’un à un amour bienveillant, d’une angoisse face à une situation à un état de sérénité. »
Frédéric Lenoir, à propos de Spinoza (‘Du Bonheur’).
Meilleurs vœux (avec Santé et Bonheur au programme)
Par défautA ce propos, voici quelques mots très importants et très justes de Frédéric Lenoir, sur le sujet de la Santé et du Bonheur, que je me devais de partager ici avec vous tous.
Savoir appréhender le monde
Par défautSoyons des ayatollahs de la vie
Par défautComme beaucoup j’éprouve d’immenses difficultés à me remettre du massacre du Bataclan. Pour mes trente ans, mes amis avaient eu la bonne idée de m’offrir un voyage à Berlin et on avait choisi avec ma copine de se rendre en Allemagne du 13 au 20 novembre, ce qui nous permettait de profiter du concert de Whitesnake à la Columbia Halle qui se tenait le 16 novembre dernier.
On avait atterri à Berlin dans l’après-midi du vendredi et un peu fatigué du déplacement on regardait tranquillement le match France-Allemagne quand on a eu la notification sur nos portables « Fusillade à Paris » avec dans la foulée l’annonce de la prise d’otage au Bataclan.